Layla a disparu il y a douze ans, en pleine nuit, sur une aire d’autoroute française. Elle rentrait en Angleterre avec son petit ami, Finn, après leurs vacances. On ne l’a jamais revue depuis.
Le passé resurgit quand Finn reçoit d’étranges courriels d’un expéditeur inconnu. Layla serait-elle encore en vie ?
Les petites poupées russes, souvenirs de l’enfance de Layla, qui réapparaissent subitement détiendraient-elles la clé du mystère ?
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Souvenez-vous, en janvier dernier, dans ma sélection d’ouvrages consacrés aux poupées je vous expliquais ne pas être certaine de la pertinence du choix de ce roman. En effet, la quatrième de couverture -volontairement censurée ici pour ne pas trop en dévoiler- ne me permettait de déterminer la place occupée par les poupées dans le roman.
La curiosité m’a donc poussée à le lire et je peux maintenant affirmer que l’ouvrage avait bien toute sa place dans la sélection car les poupées y jouent sans conteste un rôle majeur !
SPOILER ALERT : si je ne révèle pas la clé du mystère au cours de ma chronique, j’aborde tout de même des points essentiels de l’intrigue qui pourraient vous gâcher le plaisir ultérieur de la lecture.